lundi 12 juillet 2010

Autour du vitrail : XX° SIECLE / HENRI MATISSE


Les non anglophones couperont le son. Observer les métamorphoses de l'espace de la chapelle liées au vitrail à travers les reflets, les projections colorées, etc.





Vue extérieure de la chapelle du Rosaire



"L'arbre de vie", vitraux de la nef, chapelle du Rosaire



Henri Matisse
"L'arbre de vie", vitrail du choeur, chapelle du Rosaire à Vence, 1951






























A gauche : "L'arbre de vie (vitrail)
A droite : "St Dominique" (céramique)





Vue extérieure de la chapelle

"L'arbre de vie", vitraux de la nef









A gauche : "Le chemin de Croix", céramique; à droite : "L'arbre de vie", vitraux




"Vierge à l'enfant", céramique faisant face aux vitraux de la nef





"Le poisson à l'étoile"

Dans la lumière et l'espace...

Les vitraux, en correspondance directe avec les céramiques, constituent l’alternative indispensable à l’ « équilibre expressif de deux forces, la couleur du vitrail du côté droit et le blanc et noir sur tout le côté gauche ». Le vert, le jaune et le bleu, couleurs dominantes, s’inspirent de motifs végétaux.

En réalisant cet ultime travail pour la Chapelle du Rosaire à Vence, Matisse démontre ce qu’il a toujours proclamé, à savoir que l’art excède les « sensations rétiniennes » : « Je ne travaille pas sur la toile mais sur celui qui la regarde » déclare-t-il. Dans cet esprit, Matisse conçoit et effectue les éléments architecturaux, les céramiques et les chasubles, ce qui explique leur excellente coordination et la parfaite harmonie d'ensemble.

(source Wikipédia)


























3 commentaires:

  1. C'est tout simplement magnifique... pas de phraséologie compliquée, des images sublimes et des textes succincts appropriés - bravo

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  2. MERCI POUR CES OEUVRES MAGNIFIQUES ET QUI NE DEMANDENT AUCUN COMMENTAIRE ! Sauf RESPECT ET ADMIRATION

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  3. Un hommage vibrant à l’harmonie entre art et spiritualité ! Le vitrail L’arbre de vie de Matisse, avec ses motifs végétaux éclatants de vert, jaune et bleu, incarne une symbiose parfaite entre architecture et couleur. En intégrant céramiques, vitraux et chasubles, Matisse transcende la simple esthétique pour créer une expérience immersive, où chaque élément dialogue avec le regard du spectateur. Une leçon d’unité et de profondeur, qui rappelle sa célèbre idée : « Je ne travaille pas sur la toile, mais sur celui qui la regarde ». Un lieu de contemplation et d’émerveillement, toujours actuel. Merci pour ce partage lumineux !

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